Image
Mangion_2.jpg

Derniers mois en enfance

Philippe Mangion
Il est un âge, au sortir de l’enfance, où les sentiments, les sensations, les pulsions nous envahissent, où l’on ne possède pas assez d’expérience pour les analyser et les garder à distance. Il est un âge où l’on ressent les problèmes des adultes qui, eux, nous pensant innocents, ne nous épargnent rien. Il est un âge à partir duquel, plus tard, on peut dérouler le fil de son histoire. La mienne débute à neuf ans au bord d’une pelouse interdite… Ce roman raconte l’histoire d’un garçon de 9 ans, qui débarque dans l’atmosphère particulière d’une cité universitaire où son père est nommé directeur. Ils ne sont que trois enfants de fonctionnaires au milieu de mille étudiants de toutes nationalités. Les cinq bâtiments, y compris les toits et les fondations, sont leur extraordinaire terrain de jeu quotidien. Les parents du garçonnet, autocentrés sur leur couple très tumultueux, ne lui épargnent rien de leurs affrontements. L’histoire s’intensifie lorsqu’il apprend qu’une étudiante, maîtresse de son père, attend un enfant de lui. L’enfant nouera une relation spéciale avec elle, à l’insu de ses parents. L’action se déroule dans les années 70, dans une ville au bord de la Méditerranée.
240 pages
14x21cm
Dos carré collé
Achevé d'imprimer
Tarif
15,00 TTC
Une démarche équitable.

Les Editions50/50 partagent à 50/50 avec l'auteur les revenus nets de la vente de son livre.

L'auteur

Philippe Mangion

C’est le personnage de John Fante, Arturo Bandini, qui m’a donné le déclic à l’âge de 23 ans. Depuis, j'écris (presque) toutes les nuits, de minuit à 3 h du matin environ.

Bio complète sur mon blog :
https://www.chaines-de-caractere.com/

Le Mot de MonBestLibraire

L’auteur explore le passage entre deux mondes : celui de l’enfant qui croit encore à la magie, et celui où il perçoit la violence et la sensualité du monde adulte. 
Le monde des transitions est à la fois subtil, délicat et cruel.

Envie d'échanger avec l'auteur ?

Esset aliquando virtutum omnium sit domicilium Roma, ingenuos advenas plerique nobilium, ut Homerillud autem non dubitatur